La pièce est cruelle, ni dramatique, ni avec happy end. Elle montre surtout un petit garçon comme les autres, avec sa sensibilité, son vécu déjà important, et qui se trouve jugé, «chosifié», «animalisé» en doux panda inadapté, et cela par des gens qui sont précisément eux-mêmes inadaptés, ne trouvant plus leur place dans un monde qui a changé, et qui usent de leur pouvoir de nuisance en voulant à toute force culpabiliser ceux qui vivent, tout simplement, non sans éthique, mais en se passant de leurs sacrosaints principes… Mediapart, Christophe Lemardelé.
DE CHRISTOPHE PELLET, PAR LA COMPAGNIE DIDASCALIES ET CO MISE EN SCÈNE ET SCÉNOGRAPHIE RENAUD MARIE LEBLANC
JEUDI 24 FÉVRIER 19H30, THEATRE JULES VERNE TARIFS : 12€ / 8€ PLACEMENT LIBRE
